Achetezle design « hier est derriÚre demain est un mystÚre mais aujourd'hui c'est pùques » par DetV sur le produit suivant : T-shirt essentiel

DĂ©cidĂ©ment, la rĂ©putation d'opacitĂ© du systĂšme politique algĂ©rien n'est pas usurpĂ©e. Non seulement les AlgĂ©riens vont Ă©lire demain Ă  la prĂ©sidence un candidat invisible - certes pour des raisons de santĂ© -, mais ils vivent aussi depuis l'indĂ©pendance sous la tutelle pesante de services de renseignements dont ils ne connaissent pas le responsable, ignorent tout, y compris le visage. C'Ă©tait vrai hier de Kasdi Merbah, le puissant patron de la sĂ©curitĂ© militaire de Houari BoumĂ©diĂšne que la population a dĂ©couvert dans les annĂ©es quatre-vingt, quand il est devenu ministre. C'est vrai aujourd'hui du gĂ©nĂ©ral Mohamed MediĂšne, dit Toufik, qui dirige, depuis septembre 1990, le DĂ©partement du renseignement et de la sĂ©curitĂ© DRS, successeur de la sĂ©curitĂ© militaire. Le DRS a pendant longtemps constituĂ©, derriĂšre le paravent d'un gouvernement civil, la rĂ©alitĂ© du pouvoir opacitĂ© du rĂ©gime algĂ©rien n'est pas tant le fait des hommes qui le dirigent que du "systĂšme" mis en place par Houari BoumĂ©diĂšne Ă  l'indĂ©pendance, voire avant, dans les maquis. "Les hommes passent, les rouages demeurent", rĂ©pĂ©tait BoumĂ©diĂšne, le deuxiĂšme chef d'État du pays. D'oĂč cette permanence dans l'opacitĂ© de la dĂ©cision politique qui est toujours prise de maniĂšre collĂ©giale au sein de l'institution militaire armĂ©e et services lorsqu'il s'agit de questions vitales. Ce mode de fonctionnement dĂ©route les observateurs incapables de rĂ©pondre Ă  la question qui dirige l'AlgĂ©rie ? À ce propos, l'hebdomadaire Jeune Afrique rapportait, il y a peu, la question posĂ©e par Nicolas Sarkozy Ă  un ministre algĂ©rien "Pourquoi votre pays est-il si opaque ?" "Parce que c'est justement ce qui fait notre force", lui aurait rĂ©torquĂ© le responsable. Un "Ă©radicateur" pour venir Ă  bout des islamistesAu sommet de ce mystĂ©rieux pouvoir algĂ©rien le gĂ©nĂ©ral Mohamed Lamine MediĂšne, le patron des services de renseignements, le DRS. Il est Ă  la fois l'homme le plus puissant et le moins connu du pays, celui dont le nom et celui de son service entretiennent tous les fantasmes. Il n'existerait qu'une ou deux anciennes photos de Toufik, qui semble entretenir un mystĂšre qui accroĂźt son aura. Il y a quelques annĂ©es encore, les AlgĂ©riens baissaient la voix quand ils citaient son nom. Que sait-on de lui ? Il est nĂ© en 1939, en petite Kabylie, dans la rĂ©gion de SĂ©tif, et passe son enfance Ă  Bologhine, un quartier excentrĂ© de la capitale. Jeune, pendant la guerre d'indĂ©pendance, il rejoint l'ArmĂ©e de libĂ©ration nationale et est l'un des quatre officiers de l'ALN encore en exercice. AprĂšs 1962, il ne quitte pas l'armĂ©e et fait partie de ce qu'on appelle en AlgĂ©rie la promotion "tapis rouge" les militaires passĂ©s par l'Ă©cole du KGB, les services de renseignements avenir est tracĂ©. De retour en AlgĂ©rie, il occupe diffĂ©rents postes au sein de la sĂ©curitĂ© militaire chef d'antenne de la 2e rĂ©gion dont Chadli Bendjedid, le futur prĂ©sident, est le commandant en chef ; attachĂ© militaire en Libye ; responsable de la sĂ©curitĂ© Ă  la prĂ©sidence sous Chadli ; puis chef de l'important dĂ©partement de la sĂ©curitĂ© de l'armĂ©e qui dĂ©pend des services de renseignements alors dirigĂ©s par le gĂ©nĂ©ral Mohamed Betchine. En septembre 1990, Betchine quitte la direction de la sĂ©curitĂ© militaire et Mohamed MediĂšne, nommĂ© gĂ©nĂ©ral, le remplace Ă  titre transitoire. Vingt-quatre ans aprĂšs, il est toujours le puissant patron des services de renseignements. La sĂ©curitĂ© militaire a Ă©tĂ© rebaptisĂ©e DĂ©partement du renseignement et de la sĂ©curitĂ© DRS Ă  l'arrivĂ©e de MediĂšne et rattachĂ©e directement Ă  la prĂ©sidence. BoumĂ©diĂšne qui se mĂ©fiait de la sĂ©curitĂ© militaire les avait, Ă  l'origine, mis sous son autoritĂ© pour les soustraire Ă  l'Ă©tat-major de l'armĂ©e et mieux les contrĂŽler. En dĂ©cembre 1991, lorsque le Front islamique du salut FIS est sur le point d'emporter les Ă©lections lĂ©gislatives, le gĂ©nĂ©ral MediĂšne fait partie, avec un groupe de gĂ©nĂ©raux, dont le chef d'Ă©tat-major, le gĂ©nĂ©ral Khaled Nezzar, des "Ă©radicateurs" qui organisent le coup d'État. Le second tour des lĂ©gislatives est annulĂ©, le prĂ©sident Chadli Benjedid renvoyĂ© dans ses foyers, des dizaines de milliers d'islamistes sont arrĂȘtĂ©s et un haut comitĂ© d'État, prĂ©sidence collĂ©giale nommĂ©e par les militaires, mis en place. C'est un habillage derriĂšre lequel se cachent les "Ă©radicateurs". Ils vont tirer les ficelles du pouvoir pendant toute la sanglante guerre civile Ă  laquelle Abdelaziz Bouteflika met fin aprĂšs son Ă©lection Ă  la prĂ©sidentielle, en 1999. Les militaires lui ont demandĂ© de se prĂ©senter et de devenir le premier prĂ©sident civil du pays. Un animal Ă  sang froidPendant toutes ces annĂ©es, Toufik a transformĂ© le DRS en un vĂ©ritable État dans l'État. Les services de renseignements ont pris la tĂȘte de la rĂ©pression des islamistes pendant la "dĂ©cennie noire", les annĂ©es quatre-vingt-dix. Ils infiltrent et manipulent les groupes terroristes, s'opposent Ă  ceux du pouvoir ou de l'opposition qui veulent nĂ©gocier avec le Front islamique du salut, contrĂŽlent les mĂ©dias, placent leurs hommes dans les entreprises, les administrations, les partis politiques, les associations.... On estime que le DRS compte quelque 100 000 gĂ©nĂ©ral MediĂšne dispose de rĂ©seaux dans tous les milieux et sur l'ensemble du pays. PassionnĂ© de football et amateur de cigares, gros travailleur, parlant peu, fuyant les mondanitĂ©s, il a la rĂ©putation d'ĂȘtre un calme introverti, un animal Ă  sang froid apprĂ©ciĂ© de collaborateurs qui lui sont fidĂšles. C'est un homme trop puissant pour ne pas entretenir des rapports compliquĂ©s avec Abdelaziz Bouteflika, chef d'État impĂ©rieux qui entend bien ĂȘtre le seul responsable de la dĂ©cision prĂ©sidentielle. Pour le DRS, le pouvoir du premier prĂ©sident civil doit rester sous le contrĂŽle de l'institution militaire et ne pas dĂ©passer les limites d'El Mouradia, le palais prĂ©sidentiel. DĂšs son Ă©lection, en 1999, Abdelaziz Bouteflika tente, Ă  plusieurs reprises, de renvoyer l'armĂ©e dans ses casernes et de lui imposer la tutelle du pouvoir politique. En 2004, lorsque le chef d'Ă©tat-major s'oppose presque publiquement Ă  sa candidature et soutient son rival, Ali Benflis dĂ©jĂ , Bouteflika obtient le dĂ©part du chef d'Ă©tat-major, le gĂ©nĂ©ral Mohamed Lamari, qui est remplacĂ© par un homme sĂ»r, le gĂ©nĂ©ral Mohamed GaĂŻd Salah, encore en place. Reste le DRS. Le gĂ©nĂ©ral MediĂšne garde toutes les apparences d'un officier loyal Ă  l'institution prĂ©sidentielle. La prĂ©sidence va tenter de l'Ă©vincer. En vain. Sous le couvert de la lutte contre la corruption, lors de leurs enquĂȘtes, les agents des services visent des proches de l'entourage du chef de l'État, comme l'ancien patron de la Sonatrach, Chekib Khellil. Certains responsables sont envoyĂ©s en prison. Mais Abdelaziz Bouteflika et Toufik se tiennent "par la barbichette" et trouvent toujours des compromis. Ils ne sont rien l'un sans l'autre. Le patron du DRS soutient la réélection d'Abdelaziz Bouteflika en 2004, puis en 2009, aprĂšs avoir appuyĂ©, en 2008, la rĂ©vision de la Constitution qui limitait le nombre des mandats prĂ©sidentiels Ă  deux. Qui partira le premier ?Ces derniers mois, le gĂ©nĂ©ral MediĂšne ne semblait pas souhaiter que le prĂ©sident malade et trĂšs diminuĂ© physiquement postule Ă  un quatriĂšme mandat. À partir de l'Ă©tĂ© dernier, la querelle Ă  fleurets mouchetĂ©s entre le DRS et l'Ă©tat-major pro-Bouteflika, ce qui n'est pas le cas de toute l'armĂ©e s'exacerbe. Celui-ci rend le DRS responsable du fiasco de l'attaque de la base pĂ©troliĂšre prĂšs d'In Amenas, dans le Grand Sud algĂ©rien, par des islamistes en fĂ©vrier 2013. Cette prise d'otages a entraĂźnĂ© la mort de plusieurs dizaines de salariĂ©s civils. Le DRS est accusĂ© de ne pas avoir anticipĂ© les mouvements des groupes terroristes. Le chef d'Ă©tat-major, le gĂ©nĂ©ral Mohamed GaĂŻd Salah, entend que le DRS s'occupe moins de politique et se cantonne Ă  sa mission de renseignements pour assurer la sĂ©curitĂ© du pays. Le prĂ©sident joue de la rivalitĂ© entre ces deux institutions qu'il entend contrĂŽler. En septembre, l'organisation des services de renseignements est modifiĂ©e. Certaines directions passent sous le contrĂŽle de l'Ă©tat-major. Le dĂ©bat s'envenime en janvier lorsque le prĂ©sident Bouteflika est sur le point d'annoncer sa candidature Ă  un quatriĂšme mandat. Le parti FLN, pro-Bouteflika, affronte directement le DRS. Du jamais-vu. Les AlgĂ©riens s'inquiĂštent de ces rĂšglements de comptes mis sur la place publique, ce qui n'est pas dans les habitudes du pays. En fĂ©vrier, une rĂ©union des officiers supĂ©rieurs dĂ©cide la mise Ă  la retraite de gĂ©nĂ©raux du DRS. Toufik voit partir une partie de sa garde rapprochĂ©e. Puis tout rentre dans l'ordre. Que se passera-t-il demain entre les trois hommes forts du pouvoir algĂ©rien ? Tous trois appartiennent Ă  la mĂȘme gĂ©nĂ©ration, ce sont des septuagĂ©naires qui vont passer la main Ă  plus ou moins longue Ă©chĂ©ance. Abdelaziz Bouteflika va ĂȘtre réélu. Les rumeurs algĂ©roises parlent d'un Ă©ventuel dĂ©part du gĂ©nĂ©ral GaĂŻd Salah, mais il n'entend pas partir seul. Qui partira le premier ? Qui les remplacera ? Les AlgĂ©riens veulent savoir si le changement des hommes se soldera par un changement du "systĂšme". Ils n'y croient guĂšre. "Les hommes passent, les rouages demeurent...", rĂ©pĂ©tait BoumĂ©diĂšne.
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Oui, tu avais dĂ©cidĂ© d'instaurer cela il y a quelques mois, cela te permettais de voir ton pĂšre assez souvent sans pour autant le dĂ©ranger dans son travail. Tu marchais dans la rue grand sourire sur les lĂšvres, tu aimais ton pĂšre, non, c'Ă©tait encore plus fort que cela. La relation que tu avais avec lui ne pouvait ĂȘtre dĂ©crite. C'Ă©tait ton hĂ©ros, tu le pensais capable de tout, depuis toute petite. Il arrivait Ă  tuer les monstres dans ta chambre, Ă  faire fuir les gens qui te faisaient peur.. L'hĂŽpital est enfin devant toi, doucement, tu rentres dedans, saluant la jeune femme qui Ă©tait Ă  l'accueil, Ă  force de venir, tu la connaissais et toujours, tu la saluais. Ton pĂšre t'avait appris la politesse avant tout. l'ascenseur ou l'escalier, tu dĂ©testais normalement l'ascenseur, mais celui de l'hĂŽpital, tu en avais une confiance aveugle. Un jour, un homme de la sĂ©curitĂ© t'avait tout expliquĂ©, que s'il se bloquait une lumiĂšre faisait son apparition dans leur local. Chose qui t'avais rassurĂ©. Te voilĂ  Ă  attendre l'ascenseur pour monter ou travaillais ton pĂšre. La joie pouvait se lire sur ton visage et dans tes yeux. L'ascenseur allait se refermer quand une main d'homme bloqua la porte. Tu te dĂ©calas sans pour autant regarder l'homme pour le moment, trop occupĂ© Ă  lire le dernier statut facebook de ton meilleur ami. Quand l'homme te demanda d'appuyer sur son Ă©tage, tu sentis un frisson te parcourir tout le dos " ce n'est pas vrai, merde" Tu le chuchotas et appuyas doucement sur le bouton Tu redressas doucement la tĂȘte pour vĂ©rifier si c'Ă©tait bien lui. Putain, il Ă©tait encore plus beau. Tu fis un petit sourire avec un peu de chance, il ne se souviendrait pas de toi william shakespeare ❧ hamlet; act. 1 - scene 2c ❝ Abraham RhodesNo WorriesLifeâ€ș embauchĂ© le 05/08/2016â€ș nombre d'opĂ©rations 36â€ș pseudo Adidibooâ€ș cĂ©lĂ©britĂ© Eric DaneSujet Re ABRAHAMHier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Lun 8 AoĂ» - 1948 Cette nuit avait Ă©tĂ© une vĂ©ritable horreur. Je n’avais pas cessĂ© de courir de la premiĂšre Ă  la derniĂšre minute de ma garde. Les urgences avaient sollicitĂ© mon service plusieurs fois pendant la nuit, dont une intervention chirurgicale pour une perforation du poumon suite Ă  un accident de voiture. Une collaboration entre plusieurs intervenants qui avaient dĂ» s’entraider pour traiter les multiples blessures de la jeune victime. J’en avais profitĂ© pour superviser un interne tout excitĂ© qui m’avait assistĂ© tout le long de l’opĂ©ration. J’aurais au moins fait un heureux dans l’histoire. RhoseaHier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le me droguais au cafĂ© pour tenir le reste de la nuit. Depuis combien de temps n’avais-je pas connu un vrai sommeil rĂ©parateur ? Impossible Ă  dire. Le cafĂ© m’empĂȘchait de dormir mais le manque de sommeil m’obligeait Ă  consommer du cafĂ©. SacrĂ© dilemme. Cependant cela ne m’empĂȘchait pas d’ĂȘtre Ă  deux cents pourcents lors de mon temps Ă  l’hĂŽpital. Le jour oĂč je ne serais pas capable de tenir mon poste, je prĂ©fĂ©rerais dĂ©serter le service le temps d’un repos nĂ©cessaire plutĂŽt que de mettre en danger la vie de l’un de mes patients. Je connaissais mes limites et j’en frĂŽlais les limites au moment oĂč ma garde se termina. J’étais Ă©puisĂ© mais cela ne m’empĂȘcha pas de faire un dĂ©tour par la chambre de Jezabel, ne serait-ce que pour apercevoir son visage et de passer devant le planning des internes pour savoir quand je reverrai Annabell au dĂ©tour d’un couloir ou dans mon service. Mon petit rituel effectuĂ©, je rentrai Ă  la maison familiale bien trop grande et vide Ă  mon goĂ»t pour un petit somme bien mĂ©ritĂ©. Onze heures trente, le rĂ©veil n’avait pas sonnĂ©. Ou bien avait-il sonnĂ© et ne l’avais-je pas entendu ? J’avais bataillĂ© pendant des heures avant de trouver le sommeil et celui-ci venait de me trahir. Merde. Je me levais en hĂąte et me ruais jusqu’à la salle de bain. Une douche s’imposait, ma tĂȘte Ă©tait affreuse. En vĂ©ritĂ© je ne devais pas retourner Ă  l’hĂŽpital avant plusieurs heures mais j’avais des tas de papiers Ă  traiter et je m’étais imposĂ© quelques heures supplĂ©mentaires clandestines pour lesquelles notre chĂšre directrice me lyncherait certainement. Tant pis. Je me lançais dans une course contre la montre pour me prĂ©parer, rejoindre ma voiture et prendre la route jusqu’à mon lieu de travail. Je tombais dans des embouteillages inopportuns et mĂȘme mon vieux rock n’y fit rien, je bouillonnais derriĂšre mon volant. Merde, merde, merdeuuuux ! » Ce n’était pas nouveau, j’avais la patience d’une pomme de terre. Et non une pomme de terre ce n’est pas patient. Et ne me demandez surtout pas pourquoi. J’arrivais finalement Ă  mon but juste Ă  l’heure. J’avais mis le pied au plancher ; chose que je ne me permettais que lorsque j’étais seul en voiture. Je traversais le hall d’un pas preste, essayant de ne pas me faire remarquer et je me dĂ©pĂȘchais de rattraper l’ascenseur dont la porte se refermait. Juste Ă  temps. DeuxiĂšme Ă©tage, s’il vous plait. » demandai-je Ă  la jeune femme qui se tenait devant le panneau. Je l’entendis marmonner de vagues paroles tandis que je tentais de me rappeler pour quelle raison son visage me semblait familier. Oui, je fais souvent cet effet-lĂ , il parait
 » plaisantai-je avant que les souvenirs ne me reviennent. Une mauvaise journĂ©e, une soirĂ©e arrosĂ©e, un besoin irrĂ©pressible de tout lĂącher pour tout oublier et ça avait dĂ©rapĂ©. Je me souviens du bar, de cette fille et du reste de la nuit. Et merde, elle parait encore plus jeune que dans mes souvenirs. Mais elle Ă©tait majeure et c’était tout ce qui importait. De toute façon jamais un nouveau dĂ©rapage n’arriverait. Je me contentais alors de plaisanter, c’était mon arme secrĂšte pour cacher mon malaise et mon anxiĂ©tĂ©. C’était si mauvais ? » ironisai-je puisqu’elle Ă©tait partie sans prĂ©venir. J’évitai tout de mĂȘme de trop la fixer. Elle avait l’air encore plus jeune que mes filles. Putain, quel merdier. . ❝ Rhosea VancampNo WorriesRegistersYour Dreams TO DO Relationships Lifeâ€ș embauchĂ© le 03/08/2016â€ș nombre d'opĂ©rations 80â€ș pseudo SPFâ€ș cĂ©lĂ©britĂ© TAYLOR MARIE HILLSujet Re ABRAHAMHier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Mer 10 AoĂ» - 2124 Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Pourquoi tu avais dĂ©cidĂ© de prendre ce maudit ascenseur ? Pourquoi tu avais dĂ©cidĂ© de rendre visite Ă  ton pĂšre ? Pourquoi tu n'avais tout simplement pas annulĂ© ce rendez-vous. Tu pris une grande inspiration. C'Ă©tait bien lui, tu l'avais rencontrĂ© dans un bar ou tu Ă©tais avec des amis Ă  toi, ta petite bande de potes, avec qui tu faisais les quatre cents coups, il avait fallait eu que tu choisis ce bar, que tu rentres dans ce maudit bar. Que tes copains veuillent absolument t'emmener dans la folie, dans leur folie. Tu lui souriais comme tu le faisais quand tu Ă©tais totalement stressĂ©e et lĂ  tu l'Ă©tais totalement. Tu ne savais mĂȘme plus pourquoi tu avais succombĂ©, pourquoi tu avais osĂ© rentrer avec lui et couchĂ© avec ce type qui Ă©tait plus ĂągĂ© que ton pĂšre. Tes yeux, doucement, se posĂšrent sur tes pieds, oui tu avais honte de toi, tu lui avais menti, mentis sur ton Ăąge, mĂȘme sur ton prĂ©nom enfin, tu t'en souviens plus et pire que tout tu Ă©tais partis comme ça sans rien dire, ne faisan pas un bruit pour t'enfuir. Oui t'enfuir comme une petite voleuse. Tu ne pouvais quitter tes pieds des yeux mais un sourire se dessina sur ton visage Ă  sa blague. Non tu ne devais montrer aucune Ă©motion, tu devais te montrer froide, oui c'Ă©tait la meilleure dĂ©fense. Mon dieu si ton pĂšre Ă©tait au courant. Tu allais sans doute mourir ce soir, et s'il le connaissait ? Tu regardas ton tĂ©lĂ©phone pour penser Ă  autre chose. L'ascenseur mettait un temps fou Ă  monter ou c'Ă©tait toi ? Tu posas ton dos contre la colonne de l'ascenseur et tu posas tes yeux sur lui. Vraiment il posait cette question? Il voulait que tu lui rĂ©pondes quoi? Tu soupiras de plus belle " Assez oui". Tu rigolais bien sĂ»r, tu avais passĂ© une plutĂŽt bonne nuit, enfin tu crois, merde pourquoi tu avais bu. L'ascenseur fit un bruit assez bizarre et se bloqua net ,"C'est une blague c'est ca? C'est un coup de mon pĂšre?". Tu le regardas "Je crois que nous sommes ensemble pour un bon moment, autant parler non ?". Tu Ă©tais gĂȘnĂ©e, gĂȘnĂ©e d'ĂȘtre aussi prĂȘt de lui, gĂȘnĂ© de lui avoir menti. Tu tapas sur les portes de l'ascenseur, "C'est quoi votre nom dĂ©jĂ  ?" Oui autant lui demander et faire les prĂ©sentations non ? De toute façon, tu n'avais personne d'autres Ă  qui parler que lui. Si seulement tu pouvais te tĂ©lĂ©reporter, tu quitterais cet ascenseur pour te rendre chez ton pĂšre dans la seconde. Tu te laissas finalement glisser doucement sur le sol, oui, tu en avais marre de taper et d'ĂȘtre debout " Je suis finalement dĂ©solĂ© d'ĂȘtre partie comme une voleuse, mais..." Mais j'ai que 19 ans, non, tu ne pouvais pas lui dire cela comme ça alors tu baissas les yeux " je n'avais pas tellement le choix, mais je vous rassure, vous devez ĂȘtre plutĂŽt bon au lit". Tu rigolas, enfin un petit rire, tu rigolais pour essayer de te dĂ©tendre un maximumwilliam shakespeare ❧ hamlet; act. 1 - scene 2c ❝ Contenu sponsorisĂ©No WorriesLifeSujet Re ABRAHAMHier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. ABRAHAMHier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Abraham Rhodes» Abraham + You're my whole life» Abraham + A winner is a dreamer who never gives up» "Ohana" signifie famille, famille signifie que personne ne doit ĂȘtre abandonnĂ©, ni oubliĂ©. + abraham et jezabel » JĂ©zabel&Elias L'amitiĂ© est certainement le meilleur remĂšde pour soigner les blessuresPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumRoad's Hope Last step all good things come to an end RP Hierest derriĂšre, demain est RĂ©plique Kung Fu Panda sur Demain Une citation au hasard ? >> Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle
ï»żHier est derriĂšre, demain est un mystĂšre, mais aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle prĂ©sent. Proverbe de Chine de Proverbe Chinois Proverbe Chinois Une citation de Proverbe ChinoisproposĂ©e le samedi 04 juin 2011 Ă  111428Proverbe Chinois - Ses citations Citations similaires Chaque coup de colĂšre est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. - Proverbe chinoisUn railleur s'attire toujours quelques mauvaises affaires. - Proverbe ChinoisA grands doutes sagesse profonde. A petits doutes sagesse limitĂ©e. - Proverbe chinoisNe craignez pas d'ĂȘtre lent, craignez seulement d'ĂȘtre Ă  l'arrĂȘt. - Proverbe chinois Votre commentaire sur cette citation. Contribuer
VERGUINCandice : Candice VERGUIN, née en 1985 et habite ALBERTVILLE. Aux derniÚres nouvelles elle était à Lycée Jeanne D'arc à ALBERTVILLE entre 2000 et 2003. Elle a étudié à College Sainte Therese entre 1996 et 2000.
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Proverbes chinois citation 1 Hier est derriÚre, demain est un mystÚre, mais aujourd ' hui est un cadeau, c' est pour cela qu'on l' appelle présent. Proverbe de Proverbes chinois Références de Proverbes chinois - Biographie de Proverbes
Skip to content Blog Formations Stages PrĂ©sentation Blog Formations Stages PrĂ©sentation ï»ż Citation alĂ©atoire On ne diminue pas le bonheur en le partageant. Bouddha ï»ż Recevoir toutes les citations Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. Navigation En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies pour vous proposer une meilleure expĂ©rience sur le site mais vous pouvez les choisir. ParamĂ©trage des cookiesACCEPTER Jeretourne en montagne demain et j'en reverrais certainement. Je prendrais des photos des feuilles et de la tige. A moins que quelqu'un ne trouve entretemps ou que je parvienne moi-mĂȘme Ă  un rĂ©sultat Cordialement 31/10/2005, 22h47 #153 kinette. Re : La plante mystĂšre Bonjour, Pour moi ce serait probablement la grande berce (Heracleum sphondylium), appelĂ©e Par Richard MarquetPubliĂ© le 07/05/2010 Ă  0h00Mis Ă  jour le 07/05/2010 Ă  9h46 Hier encore, Serreslous-Horsarrieu ignorait si trois de ses joueurs et son coach, sous le coup d'une suspension, seraient autorisĂ©s Ă  disputer la finale face Ă  Gamarde-Goos ce soir Ă  Pomarez. L'affaire est en dĂ©libĂ©rĂ©, rien d'autre Ă  dĂ©clarer. » ContactĂ©e par tĂ©lĂ©phone hier aprĂšs-midi, la commission de discipline de la FĂ©dĂ©ration française de basket-ball n'en dira pas davantage sur le dossier qui tient en haleine l'Ă©quipe de Serreslous-Horsarrieu. Nous n'en savons pas plus, regrettait hier le prĂ©sident de l'ASH, Patrick Dumas. Pour l'instant, on est condamnĂ© Ă  attendre une rĂ©ponse de la chambre d'appel. Et c'est vraiment casse pompe. » Hier donc, FrĂ©dĂ©ric Fauthoux, Mathieu et Thierry Lespiaucq et le coach FrĂ©dĂ©ric Lanave ignoraient toujours si les suspensions qui planaient au-dessus de leurs tĂȘtes les priveraient de finale de la Coupe des Landes, ce soir face Ă  Gamarde-Goos. On espĂšre recevoir un fax dans la journĂ©e, mais pour l'instant, on est dans le flou le plus complet, rajoutait Fred Lanave, plutĂŽt confiant malgrĂ© tout. En ce qui concerne la Coupe des Landes, on devrait pouvoir y participer, sachant qu'on ne devrait pas avoir de nouvelles de la FFBB d'ici demain vendredi. Pour la suite la Super Coupe Sud Ouest », il faudra voir. » Propos offensants »En attendant, l'ASH navigue dans un Ă©pais brouillard, qui bouche son horizon depuis fin janvier. Les embrouilles dĂ©butent dĂšs la dĂ©faite 79-75 sur le sol d'Oloron consommĂ©e. À l'issue de la rencontre, les frĂšres Lespiaucq, Fred Fauthoux et le coach Fred Lanave sont accusĂ©s d'avoir profĂ©rĂ© des propos offensants » Ă  l'adresse du corps arbitral, comme l'indique le rapport rĂ©digĂ© Ă  l'issue du match. Ça veut dire quoi propos offensants ? MĂȘme les arbitres sont incapables de dire prĂ©cisĂ©ment ce qu'ils ont entendu, prĂ©cise Patrick Dumas. Je ne dis pas qu'on n'a pas criĂ© au scandale aprĂšs notre dĂ©faite, qu'onn'a pas contestĂ©, mais certaines choses rapportĂ©es sont archi fausses. Le problĂšme c'est que c'est notre parole contre celle des arbitres. Et dans tous les cas, ça ne mĂ©ritait certainement pas des sanctions aussi lourdes ». D'ailleurs, en premiĂšre instance, l'ASH n'a mĂȘme pas cherchĂ© Ă  plaider sa cause. Vu ce qui s'Ă©tait passĂ©, on pensait prendre un blĂąme, ou quelque chose comme ça ! », confie le prĂ©sident de l'Avenir. Mais l'affaire, apparemment banale, va prendre des proportions Ă  3 mois fermeAu bout d'une interminable attente, la notification des sanctions tombe fin mars. Comme un coup de massue derriĂšre la tĂȘte. Pourquoi si longtemps aprĂšs, lĂ  encore mystĂšre ! », ajoute Patrick Dumas. Des peines sont sĂ©vĂšres. Voire exemplaires. De 1 Ă  3 mois ferme de suspension, assortis de sursis. Quand on a reçu ça, ça nous a foutu un sacrĂ© pet », se souvient le prĂ©sident, dire que cette fois, le club va se dĂ©fendre, en interjetant appel auprĂšs de la chambre fĂ©dĂ©rale. Vendredi dernier, les dirigeants de l'ASH montaient se dĂ©fendre Ă  Paris, leur bonne foi en bandouliĂšre. Dans leur dossier, quelques lettres de responsables du club d'Oloron attestant n'avoir rien vu ni entendu de gravissime. Mais depuis, silence radio de la part des instances fĂ©dĂ©rales. Pourtant, au sein de l'ASH, personne n'ose imaginer que la chambre d'appel confirmera la premiĂšre dĂ©cision. Aujourd'hui, on a juste hĂąte de savoir ».En attendant ce rebond favorable, le sort des trois joueurs et du coach de l'ASH reste suspendu Ă  un coup de fil, un fax, une lettre recommandĂ©e, qui, tel un couperet, peut tomber Ă  toute heure. En attendant, dire que du cĂŽtĂ© de Serreslous-Horsarrieu, la prĂ©paration de la finale de Coupe des Landes a Ă©tĂ© perturbĂ©e relĂšve du doux euphĂ©misme. On est loin de la sĂ©rĂ©nitĂ© escomptĂ©e avant ce type de rendez-vous, on le sait quasiment sacrĂ© pour Fred Fauthoux et ses de faire abstraction Le contexte est particuliĂšrement compliquĂ©, assure Fred Lanave. On fait en sorte qu'il ne soit pas trop pesant, mais on sent bien que ça tracasse un peu tout le monde. C'est difficile de faire totalement abstraction, tout comme de jauger Ă  quel degrĂ© tout ça peut toucher les joueurs et quelles rĂ©percussions cela peut avoir sur notre jeu. J'espĂšre simplement que ceux qui pourront jouer demain ce soir puiseront lĂ -dedans un surplus de motivation. » Quand on connaĂźt la magie des arĂšnes de tous les possibles, leur capacitĂ© Ă  recimenter les collectifs les plus Ă©brĂ©chĂ©s, et l'amour inconditionnel que porte l'ASH Ă  tout ce qui porte le nom de Coupe, les soucis d'aujourd'hui pourraient bien ĂȘtre suspendus jusqu'Ă  demain le temps d'une parenthĂšse pomarĂ©zienne. Si la chambre d'appel lui laisse l'occasion de s'asseoir sur le banc, Fred Lanave, le coach, ne boudera pas l'Ă©vĂ©nement, mĂȘme si l'homme n'a pas spĂ©cialement envie d'y aller. Dans cette affaire, j'ai Ă©tĂ© profondĂ©ment sali, touchĂ©, et attaquĂ© dans mon intĂ©gritĂ©. Et quel que soit le rĂ©sultat de l'appel, je n'en resterai pas lĂ . Cette affaire, je vais la mener trĂšs loin », confesse le technicien. C'est bien connu, en basket, la meilleure dĂ©fense, c'est encore l'attaque

LaVoie du Milieu, nous permet de trouver la Sagesse. C’est riche de cette comprĂ©hension, que nous pourrons rĂ©ussir notre Mission d’enrichir le Monde pour en rĂ©vĂ©ler ses multiples facettes. « Hier est derriĂšre, Demain est un mystĂšre, Mais Aujourd’hui est un cadeau ! C’est pourquoi on l’appelle le PrĂ©sent.
Le COMTE et CHÉRUBIN cachĂ©s, SUZANNE, BASILE. BASILE. N’auriez-vous pas vu monseigneur, mademoiselle ? SUZANNE, brusquement. HĂ© ! pourquoi l’aurais-je vu ? Laissez-moi. BASILE s’approche. Si vous Ă©tiez plus raisonnable, il n’y aurait rien d’étonnant Ă  ma question. C’est Figaro qui le cherche. SUZANNE. Il cherche donc l’homme qui lui veut le plus de mal aprĂšs vous ? LE COMTE, Ă  part. Voyons un peu comme il me sert. BASILE. DĂ©sirer du bien Ă  une femme, est-ce vouloir du mal Ă  son mari ? SUZANNE. Non, dans vos affreux principes, agent de corruption ! BASILE. Que vous demande-t-on ici que vous n’alliez prodiguer Ă  un autre ? GrĂące Ă  la douce cĂ©rĂ©monie, ce qu’on vous dĂ©fendait hier, on vous le prescrira demain. SUZANNE. Indigne ! BASILE. De toutes les choses sĂ©rieuses, le mariage Ă©tant la plus bouffonne, j’avais pensé  SUZANNE, outrĂ©e. Des horreurs. Qui vous permet d’entrer ici ? BASILE. LĂ , lĂ , mauvaise ! Dieu vous apaise ! il n’en sera que ce que vous voulez. Mais ne croyez pas non plus que je regarde monsieur Figaro comme l’obstacle qui nuit Ă  monseigneur ; et, sans le petit page
 SUZANNE, timidement. Don ChĂ©rubin ? BASILE la contrefait. Cherubino di amore, qui tourne autour de vous sans cesse, et qui ce matin encore rĂŽdait ici pour y entrer, quand je vous ai quittĂ©e. Dites que cela n’est pas vrai ? SUZANNE. Quelle imposture ! Allez-vous-en, mĂ©chant homme ! BASILE. On est un mĂ©chant homme parce qu’on y voit clair. N’est-ce pas pour vous aussi cette romance dont il fait mystĂšre ? SUZANNE, en colĂšre. Ah ! oui, pour moi ! BASILE. À moins qu’il ne l’ait composĂ©e pour madame ! En effet, quand il sert Ă  table, on dit qu’il la regarde avec des yeux !
 Mais, peste, qu’il ne s’y joue pas ; monseigneur est brutal sur l’article. SUZANNE, outrĂ©e. Et vous bien scĂ©lĂ©rat, d’aller semant de pareils bruits pour perdre un malheureux enfant tombĂ© dans la disgrĂące de son maĂźtre. BASILE. L’ai-je inventĂ© ? Je le dis, parce que tout le monde en parle. LE COMTE se lĂšve. Comment, tout le monde en parle ! SUZANNE. Ah ! ciel ! BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Courez, Basile, et qu’on le chasse. BASILE. Ah ! que je suis fĂąchĂ© d’ĂȘtre entrĂ© ! SUZANNE, troublĂ©e. Mon Dieu ! mon Dieu ! LE COMTE, Ă  BASILE. Elle est saisie. Asseyons-la dans ce fauteuil. SUZANNE le repousse vivement. Je ne veux pas m’asseoir. Entrer ainsi librement, c’est indigne ! LE COMTE. Nous sommes deux avec toi, ma chĂšre. Il n’y a plus le moindre danger ! BASILE. Moi je suis dĂ©solĂ© de m’ĂȘtre Ă©gayĂ© sur le page, puisque vous l’entendiez ; je n’en usais ainsi que pour pĂ©nĂ©trer ses sentiments, car au fond
 LE COMTE. Cinquante pistoles, un cheval, et qu’on le renvoie Ă  ses parents. BASILE. Monseigneur, pour un badinage ? LE COMTE. Un petit libertin que j’ai surpris encore hier avec la fille du jardinier. BASILE. Avec Fanchette ? LE COMTE. Et dans sa chambre. SUZANNE, outrĂ©e. OĂč monseigneur avait sans doute affaire aussi ? LE COMTE, gaiement. J’en aime assez la remarque. BASILE. Elle est d’un bon augure. LE COMTE, gaiement. Mais non ; j’allais chercher ton oncle Antonio, mon ivrogne de jardinier, pour lui donner des ordres. Je frappe, on est longtemps Ă  m’ouvrir ; ta cousine a l’air empĂȘtrĂ©, je prends un soupçon, je lui parle, et, tout en causant, j’examine. Il y avait derriĂšre la porte une espĂšce de rideau, de porte-manteau, de je ne sais pas quoi, qui couvrait des hardes ; sans faire semblant de rien, je vais doucement, doucement lever ce rideau pour imiter le geste il lĂšve la robe du fauteuil, et je vois
 Il aperçoit le page. Ah !
 BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Ce tour-ci vaut l’autre. BASILE. Encore mieux. LE COMTE, Ă  SUZANNE. À merveille, mademoiselle Ă  peine fiancĂ©e, vous faites de ces apprĂȘts ? C’était pour recevoir mon page que vous dĂ©siriez d’ĂȘtre seule ? Et vous, monsieur, qui ne changez point de conduite, il vous manquait de vous adresser, sans respect pour votre marraine, Ă  sa premiĂšre camĂ©riste, Ă  la femme de votre ami ! Mais je ne souffrirai pas que Figaro, qu’un homme que j’estime et que j’aime, soit victime d’une pareille tromperie. Était-il avec vous, Basile ? SUZANNE, outrĂ©e. Il n’y a tromperie ni victime ; il Ă©tait lĂ  lorsque vous me parliez. LE COMTE, emportĂ©. Puisses-tu mentir en le disant ! son plus cruel ennemi n’oserait lui souhaiter ce malheur. SUZANNE. Il me priait d’engager madame Ă  vous demander sa grĂące. Votre arrivĂ©e l’a si fort troublĂ©, qu’il s’est masquĂ© de ce fauteuil. LE COMTE, en colĂšre. Ruse d’enfer ! je m’y suis assis en entrant. CHÉRUBIN. HĂ©las, monseigneur, j’étais tremblant derriĂšre. LE COMTE. Autre fourberie ! je viens de m’y placer moi-mĂȘme. CHÉRUBIN. Pardon, mais c’est alors que je me suis blotti dedans. LE COMTE, plus outrĂ©. C’est donc une couleuvre que ce petit
 serpent-lĂ  ! il nous Ă©coutait ! CHÉRUBIN. Au contraire, monseigneur, j’ai fait ce que j’ai pu pour ne rien entendre. LE COMTE. Ô perfidie ! À SUZANNE. Tu n’épouseras pas Figaro. BASILE. Contenez-vous, on vient. LE COMTE, tirant CHÉRUBIN du fauteuil et le mettant sur ses pieds. Il resterait lĂ  devant toute la terre !

Hierest de l'histoire, demain est un mystĂšre, aujourd'hui est un cadeau. Eleanor Roosevelt 28 Hier n'est que la mĂ©moire d'aujourd'hui ; demain est le rĂȘve d'aujourd'hui. Khalil Gibran 20 En

. cliquez ici dessous pour la tĂ©lĂ©charger . Voir le Fichier Fiche_urg Ă  toutes! suite au post de lapetitebouh sur la fiche d'urgence...et suite Ă  une insomnie...j'ai passĂ© le temps en faisant une fiche pour tout rĂ©sumer, Ă  mettre sur le frigo, dans un tiroir, derriĂšre une porte, sur la tv pourra pas le louper lĂ  hein! ... bref!! oĂč vous voulez!vu que ze souis supeer modeste et trĂšs peu fiĂšre de mon travail, je le partage modestement! et oui je suis doublement, non! triplement modeste! hum hum ... chuuut!! voici une photochacune peut faire comme elle veut, remplir Ă  la main ou directement sur word ... ou s'abstenir............... perso, j'en ai tirĂ© deux exemplaires vierges que j'ai collĂ© recto-verso et plastifiĂ©! ensuite, j'ai rempli avec un stylo pour tableau blanc, nikel, et renouvelable!!si ça intĂ©resse quelqu'unes, mailez moi, je partage avec plaisir! et juste comme ça en passant bisouuuuuus les filles!! ps Ă  lulu je t'ai piquĂ© un bout de ton image!! Mais seulement un bout! je soutiens occitane dans sa lutte contre les cactus! ..... ..... DerniĂšre modification par popopilo 23-02-2013 033542 INDEX cliquez ici Hier est un souvenir, demain est un mystĂšre, aujourd'hui est un cadeau, c'est pour ça qu'on l'appelle Le PrĂ©sent.

\n \n\n hier est derriĂšre demain est un mystĂšre
Hierest derriÚre, demain est mystÚre, et aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle le présent. C'est drÎle la vie. Quand on est gosse, le temps n'en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l'enfance tout ce qui l'en reste ça tient dans une petite boite.

Un Temps-T CrĂ©ation 2021Distribution Direction artistique Christophe Gellon ChorĂ©graphies et interprĂ©tation MĂ©lissa Cirillo, Karim Felouki, Oussama El Yousfi Lemghari Musique originale Thomas Millot Note d’intention Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le prĂ©sent. » Cette nouvelle crĂ©ation de la Compagnie VoltaĂŻk est un regard sur les chemins de vie, notre passĂ© indĂ©lĂ©bile, un futur impalpable, et s’ancre dans l’instant prĂ©sent. Sur scĂšne, trois danseurs proposent une chorĂ©graphie Ă  la gestuelle puissante, mĂȘlant leurs Ă©nergies en danses urbaines. Un spectacle intense Ă  vivre dans l’instan-T.

6OnQ.
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