reconnaissable évoque le bruit des pièces d'or qui tombent dans la caissette lorsque l'on compte les écus un par un. Vert-brun à grisâtre sur le dessus, son plumage est blanc sale dessous, chamoisé sur la poitrine avec un sourcil pâle peu visible. Crédit photo : PNE - Saulay Pascal 25 fév. 2022 • La Cabane de Châtellerat 7/11
Palmarès par divisions Palmarès Européens - Expressions d'inspiration médiatique Les mouches ont changé d'âne L'équipe qui menait est en train d'être menée. La cabane est tombée sur le chien Le sort du match semble scellé ! Le cochon est dans le maïs Ca sent le roussi ! Le chat est maigre Le score est petit. La jument n'a pas encore tourné le dos au foin Rien n'est joué ! C'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses ! C'est pas encore plié pour faire les comptes. barbele la cabane est tombée sur le chien, mais le chien n'est pas mort
22 Poème: la Cabane Est Tombée Sur le Chien. Publié par Coburitc le 18/10/2015 à 09:18. 3 Poème: Matmut. Publié par St Just le 04/09/2015 à 21:54. 3 2 Poème: Amousse Ta Maousse de Masse. Publié par Mortimer le 29/07/2013 à 13:40. 5 Poème: la Philosophie du Surfeur. Publié par L'harmonica ;-) le 16/07/2013 à 17:46. 1 Poème: L’Amateur De Boxe. Publié
La cabane est tombée mais le chien n`est pas mort. Le départ 7h 30 La cabane est tombée mais le chien n’est pas mort. Le départ 7h 30. Heure de rendez-vous bien matinale. On pourrait se croire un dimanche matin de la saison régulière. Mais non, rien qu’à voir ce que nous devons charger dans les soutes du bus, nous fait penser que nous n’allons pas nous déplacer en région parisienne. Dame Ghislaine, accompagnée des Dames Anne et Claire, a encore frappé fort. A voir ce qui a été préparé pour la restauration me laisse à me demander si nous n’allons pas alimenter tous les spectateurs du stade de Parthenay. Alors nous chargeons tout. Tout ? Pas sûr ... 08 h 10 Le bus démarre et nous commençons notre périple vers notre destination dominicale. Parthenay, charmante bourgade française située dans le département des deux sèvres et la région de Poitou-Charente. Lieu, désigné par la FFR, pour jouer notre 8ème de finale contre l’entente, qui fleure bon le Sud Ouest, les foies gras et les magrets, Condom-Vic Fezensac. Le voyage se fait un peu long et on commence à voir quelques agitations dans le fond du car. A 18 ans, c’est bien normal, on a besoin de se dépenser. 11 h 45. Arrêt du côté de Châtellerault pour se restaurer. Repas sans histoire sinon pour la vache du parc à jouer qui n’a pas très bien compris quand une dizaine d’escogriffes se sont mis en tête de lui faire brouter l’herbe. Repas qui a mis du baume aux cœurs des garçons qui nous gratifièrent d’un tour de chant de la variété française sans aucune fausse note et tout en douceur entre le restaurant et Parthenay. L’Avant match 14 h 00. Arrivée au stade. La mise aux vestiaires est un peu dure. Les garçons ont été enfermés pendant 4 h 30 et ont besoin de respirer. Il ne pleut pas, et il est bien tentant de rester un peu à l’air libre tout en regardant le match, Cadets, qui se joue avant notre rencontre. La rentrée dans les vestiaires se fait. Pas beaucoup de bruit. On écoute les consignes des Coachs, on va voir Jean Mi et Jérôme pour se faire strapper, on écoute capt’aine Yann, on entend quelques encouragements ça et là , on se fait des promesses, on a besoin de cela pour évacuer le stress. Avec l’autorisation des coachs, Jérôme prend la parole. Et là , quand un homme d’un certain poids et d’un poids certain » parle, les jeunes coqs écoutent. Cela les rassure. Ils sont beaux et fiers dans leurs maillots mais il n’y en a pas beaucoup qui ont déjà joué ce genre de match et leur trac est bien légitime. Mais une chose est sûre, on est tous avec eux. Le match Début de match difficile pour nos garçons. Le terrain accuse une certaine déclivité favorable, pour cette première mi-temps, aux gersois qui nous privent de ballons grâce à une bonne agressivité et une très bonne organisation dans le petit périmètre où nous sommes, il faut bien le reconnaître, quelque peu défaillant ce jour. Les attaques incessantes viennent buter sur une défense intraitable de nos verts. Mais cette défense acharnée provoque inévitablement des fautes et, après deux tentatives infructueuses, le 10 adverse transforme une pénalité à laquelle Ben répond par une pénalité de 40 M. 3 à 3 à la 15ème, c’est pas mal, 6 à 3 à la trentième minute. Il reste cinq minutes, si nous tournons aux oranges avec ce petit déficit, tous les espoirs sont permis. A nous le terrain dans le bon sens, à nous les départs de 8 de Pascal, et des troisième lignes en soutien, à nous les chevauchées de toute la ligne d’arrières. Hélas, les cinq dernières minutes de ce premier acte vont, sans le savoir, nous être fatales. Suite à des fautes répétées, de l’ensemble de l’équipe, Pascal écope d’un carton blanc et deux minutes plus tard sur une relance dans notre camp, le ballon tombe et est prestement récupéré par un gersois qui va planter la seule banderille du match entre les pagelles. Essai transformé, 13 à 3 aux oranges. Rien n’est perdu mais cela sera sans doute un peu plus difficile. Le deuxième acte est plus équilibré. Les avants verts sont plus présents dans le combat mais sans cette cohésion qui existe chez nos adversaires. Néanmoins, nous avons quand même un peu plus de munition que les arrières exploitent du mieux qu’ils peuvent face à une défense agressive qui ne laisse pas beaucoup d’espace. Les équipes se rendent coup pour coup. De part et d’autre, des mouvements sont initiés mais ne vont pas au bout, soit à cause d’une faute de main, soit par le fait d’une défense omniprésente. En fin de compte, rien ne sera marqué lors de cette deuxième mi-temps et le score inscrit au planchot à la mi-temps n’évoluera pas. Dans un match disputé dans un très bon esprit et conduit de main de maitre par le Referre landais de la côte d’argent, l’entente Condom-Vic Fezensac se qualifie pour les quarts de finale. Nous pouvons nourrir quelques regrets car avec un peu plus de cohésion devant et quelques ballons mieux négociés, il y avait la place de passer un tour supplémentaire. Le canard n’était pas gras mais il était trop gros pour nous et en ce dimanche, le bonheur n’était pas sur le pré. L’après match Ce qui ce passe dans le bus, reste dans le bus. Mais sachez que j’ai passé un des plus grands retours de match de ma vie de rugbyman et de dirigeant. Merci pour cela. En revanche, quelques faits marquants lors de la dernière halte où tous les garçons ont fait un Tchou Tchou d’anthologie dans le magasin de la station service et quelques Paquito au passage des voitures. Une grosse et franche rigolade prouvant que la déception de la défaite était passée et que la suite n’était que du bonheur. L’action de la journée Nous avions tout chargé au départ. Tout ? Nooooooooon. Nous avons oublié l’élément indispensable pour jouer au rugby. L’acteur sans qui rien n’est possible. L’arbitre ? Nooooooooooooon. Nous avons tout simplement oublié les ballons. Quand je dis nous, c’est parce que le rugby est un sport collectif et que, lorsqu’un acteur fait une boulette, tout le monde l’assume. Mais il ne faut pas exagérer quand même et il ne faudra pas que l’affaire se reproduise. Je ne ferai pas de délation, mais il est petit, brun avec des cheveux courts, il râle tout le temps et les joueurs l’ont affectueusement affublé du doux nom de Chapka. Vous voyez de qui je veux parler ? Non, eh bien tant pis mais je ne donnerai pas de nom. Les remerciements Merci à toutes les personnes qui se sont chargées de l’intendance. Nous n’avons jamais manqué de rien aussi bien en solide qu’en liquide. Il est des réputations qu’il va être difficile de surpasser. Merci au photographe non officiel du groupe qui pratique sans carte de presse. Tout au long de l’année, il a suivi les matchs par l’objectif de son appareil pour notre plus grand bonheur. Malgré que ce soit lui qui ait fixé toutes les images sur la pellicule’’, je suis persuadé que c’est lui qui en a le moins vu. Nous avons perdu la partie sur le pré, mais nous avons gagné la partie dans les tribunes. Ce n’est, certes, pas le principal, mais il est réconfortant de voir autant de monde capable de suivre des jeunes dans leur aventure. Merci donc à tous ces supporters qui sont venus, soit occasionnellement, soit sur l’ensemble des trois tours. Je pense que les garçons ne l’oublieront pas. La cabane, beaucoup moins solide que la semaine dernière, est tombée sur le chien, mais le chien est toujours vivant et reviendra la saison prochaine. Ce qui ne tue pas rend plus fort encore. Et pour finir La chose la plus importante je tiens à féliciter les joueurs et les coachs pour leur belle saison. Cela n’a pas été tous les jours facile. Ils s’étaient fixés un objectif se qualifier pour le Championnat de France. Ils l’ont fait et en prime ils se sont offerts trois tours. Messieurs, la qualité est là . Maintenant, Il faut continuer à travailler pour progresser et être encore plus forts dans le futur pour réussir un jour ce qui, ne nous le cachons pas, nous fait tous B…. pour rester viril mais correct. C'est aussi un apprentissage, un groupe ne se construit pas en une saison mais en deux, trois, quatre saisons, en y apportant chaque année des éléments nouveaux. La progression de l’entente passe par la stabilité et l'ambition. Bon Vent à Tous Le rugby, c'est l'histoire d'un ballon avec des hommes autour. Et quand il n'y a plus le ballon, il reste l'essentiel les hommes. Jean Pierre Rives Petite dédicace pour …… Sur l’air des Tuyaux ou des Pompiers Les ballons En ce dimanche pour les 8ème Tout le monde est là au pied du bus On charge le coffre et les joueurs Sans rien oublier sur le trottoir. La la la la la la la la Quand tout à coup après le départ Monsieur mail se lève d’un bond Va voir Seb dans le fond du bus Et lui demande As-tu pensé aux ballons ? ohe ohe ohe !!! Où sont passés les ballons les ballons les ballons Mais où est passé le sac de Seb Où sont passés les ballons les ballons les ballons Pas de panique, allons voir Seb.
Ala cabane des chasseurs, le " cuistot" prépare parfois une soupe de " cuje ". cussonné: Une planche en bois est " cussonnée" quand elle est attaquée par les charançons (" cusse", en gascon) dail, daillot: faux, petite faux. Avant la chasse, le paloumayre nettoyait, autrefois, le sous-bois de la palombière avec un " daillot" ; actuellement, il utilise souvent un
Un hélico survole les vignes à Segonzac pour éviter que le froid ne s'installe repro CL degrés ce matin à Segonzac repro CL Par publié le 27 avril 2017 à 9h34, modifié à 14h47. 21 avril 1991. 27 avril 2017. Deux dates qui vont être marquées au fer rouge dans l’histoire du vignoble cognaçais. Car sur le secteur des plaines et coteaux de Segonzac, au coeur de la Grande-Champagne, les viticulteurs l’assurent "Ici, 80% du vignoble est touché. On est sur un phénomène comparable à celui de 1991". 1991, année noire où le vignoble charentais a été ravagé par le gel. Ce 21 avril-là , deux tiers des bourgeons avaient été grillés par le gel. La production était tombé à 30/50 hectolitres de vin par hectares, contre 120 en moyenne habituellement. Ce matin, en s’abattant sur des vignes en pleine croissance végétative, le froid a encore fait très mal. Il faudra attendre pour avoir un bilan complet et fiable de cet épisode. Notamment demain, pour voir si les feuilles noircissent. Sachant que la matinée devrait encore être très froide. Les représentants de la viticulture, du cognac, du pineau et des vins de pays charentais sont actuellement réunis pour faire un point. … "Là , la cabane est tombée sur le chien." Stupeur au réveil dans le vignoble cognaçais, d’Aigre à Barbezieux en passant par les plaines et coteaux de Grande-Champagne. Les viticulteurs craignaient un coup de froid ils ont été servis au-delà de leurs craintes. Moins à 7h30, jusqu’à moins 5 vers 6h. En pleine renaissance printanière de la vigne, cet épisode de gel tombe mal, très mal, alors que l’année 2016 a déjà été marquée par une succession inédite d’aléas climatiques gel, sécheresse, grêle. Impossible, pour l’heure, de prévoir l’étendue des dégâts qui toucheront nécessairement l’ensemble des cultures. Situation inédite ce matin, sur Segonzac, un hélicoptère survolait à basse altitude des vignes pour lutter contre ce gel, le mouvement des pâles devant empêcher l’air froid de s’installer sur les vignes.
Lacabane est tombée sur le chien J'aurais également pu intituler cet article "Le cochon est dans le maïs", ou encore "Le sanglier est dans le salon de coiffure" tan t la situation est catastrophique. Je ne parle pas de la défaite des Bleus face aux Blacks 17-37
Cet été j’ai décidé de me lancer à l’assaut du Barrhorn, ce sommet des Alpes valaisannes, en compagnie de mon frère Cyrille. Sincèrement, je ne m’attendais pas à une telle expérience et à des paysages aussi sauvages… Je sens que tu vas aimer cette microaventure ! Situé dans les confins du Val de Tourtemagne, le Barrhorn s’avère être un des plus hauts sommets d’Europe accessibles en randonnée sans la nécessité d’utiliser du matériel d’alpinisme. Il est balisé et accessible à toute personne ayant une bonne condition physique. Il convient cependant de ne pas prendre cette course à la légère, de bien vérifier la météo avant d’y aller, et surtout de s’équiper avec le matériel adéquat. Pour la petite histoire, c’est l’année dernière lorsque je suis grimpé au sommet du Bishorn, un 4000 de la vallée voisine, que mon guide m’a conseillé d’aller voir du côté de Tourtemagne Turtmanntal. Tu vas voir, c’est sympa… » Accès au val de Tourtemagne Ce vallon isolé et sauvage est le plus occidental du Valais. On y parle l’allemand et on y accède en voiture par la vallée du Rhône en passant d’abord par le village de Tourtemagne Turtmann à 678 mètres, puis par les villages de montagne d’Ergisch, d’Unterems et d’Oberems. Une fois ce dernier traversé, il faut continuer sur la même route jusqu’à Gruben, puis jusqu’à la fin de la route à Senntum. A cet endroit, on trouve les seules places de parking officielles où il est autorisé de stationner plus de 3 heures. Ces places sont payantes et un parcomètre central est installé prévoir 8 à 10 CHF en pièces. Le val de Tourtemagne est comme je te le disais sauvage, préservé mais surtout méconnu ce qui en fait une destination assez calme et sereine. Je pense sincèrement avoir découvert une perle dans le Valais. Une de plus, me diras-tu. Moi qui vient dans le Val d’Anniviers juste à côté depuis plus de 10 ans, je ne m’attendais pas du tout à découvrir une telle richesse de paysages. C’est le long de la rivière Turtmänna que l’on évolue dans un premier temps et on en prend déjà plein la figure. Ici les gens ne vivent principalement que l’été. Toute nouvelle construction est strictement interdite dans la vallée. Seules les transformations de bâtiments existants sont tolérées, et en suivant des dispositions strictes. La vallée détient le record de la limite de forêt la plus élevée d’Europe à plus de 2 000 mètres ! Pour couronner le tout, on raconte qu’on y aurait encore vu l’ours il y a à peine 150 ans… 🙂 Randonnée jusque la cabane 2519m La montée et la descente jusqu’au Barrhorn peuvent se faire en une grosse journée de randonnée 10 heures. C’est assez sportif et c’est un beau défi à réaliser depuis le parking. Mais je conseille plutôt de faire une halte et passer la nuit à la jolie cabane de Tourtemagne en milieu de parcours afin de profiter davantage de l’expérience. On aperçoit la cabane au milieu, en haut. On accède à la cabane après environs 2 heure de randonnée facile depuis le parking. Plusieurs choix se présentent un chemin normal par la route de gravier jusqu’au barrage puis suivre ensuite les indications, un autre un peu plus raide par la chapelle Holustein 3h, et un autre par les gorges de la rivière Turtmänna 2h également. Nous choisissons avec mon frère Cyrille la troisième option et nous ne le regrettons pas c’est vraiment très joli. La randonnée est facile mais reste une belle mise en jambes pour ce qui nous attend le lendemain. On passe par les gorges, l’eau est cristalline, les paysage se dévoilent, le Bishorn parade devant nous, que cette vallée est belle ! Nous arrivons ensuite au barrage que nous traversons par la gauche pour ensuite rejoindre les sentiers plus raides qui montent jusqu’à la cabane. Plus on monte, plus la montagne nous offre sa magnificence, telle une récompense. La montagne est déconcertante. Son paysage est plissé et mots et les habitudes butent sur le passage des cols. Jason Goodwin A quelques mètres de la cabane, la vue sur le glacier est unique presque en balcon. Je suis impressionné, quand je pense que je marchais dessus plus haut l’année dernière en grimpant sur le Bisshorn… Le Barrhorn est caché par la montagne. Vue sur le glacier de Tourtemagne. Nous arrivons facilement à la cabane après 1h45 de montée,voilà donc une première étape faite ! La Cabane de Tourtemagne. Située sur un éperon rocheux qui domine la vallée et qui offre une vue imprenable sur le glacier du même nom et sur le doux Bishorn, la cabane de Tourtemagne est l’endroit idéal pour se poser le temps d’une soirée et de s’imprégner de l’ambiance des refuges de montagne. Et quelle ambiance ! Construite en 1928 et joliment rénovée depuis, elle fait partie de la section CAS Prévôtoise très active dans la région. L’organisation attache une grande importance à la convivialité de ses cabanes tout en offrant un programme d’activités varié. En plus de l’organisation de randonnées en montagne, ils font aussi la promotion d’un comportement correct dans la nature tout comme faire connaître les sports de montagne aux jeunes. Une nuit avec le repas du soir et le petit déjeuner coûte 83 CHF par auprès des gardiens Magdalena et Fredy Tscherrigou directement à la cabane au +41 27 932 14 55. Lumières du soir… Jusqu’au Barrhorn 3610m Nous nous levons à 7h00 et commençons presque directement l’ascension vers le Barrhorn après un solide petit déjeuner à la cabane. Le début du tracé par les éboulis est facile et nous mène dans un couloir rocheux assez pentu et escarpé. Sans être trop technique, c’est la première difficulté du tracé. Il y a des câbles et des barreaux métalliques pour faciliter le passage. On parle ici de randonnée alpine » il faut avoir le pied sûr et ne pas être sensible au vide surtout en descente. Nous continuons ensuite pour subir une longue montée par la moraine. Il y a bien 2 à 3 kilomètres… heureusement le soleil n’a pas encore passé la ligne de crête et il ne fait pas trop chaud. 1km à pied, ça use… ça use. Au bout de la moraine, nous sommes littéralement au pied du mur ». Nous avons le choix soit on prend à gauche directement vers le sommet que nous apercevons déjà , soit à droite pour aller d’abord vers le col. Nous choisissons la seconde option moins raide et surtout plus ludique. La vue sur l’objectif de la journée est de plus en plus évidente. On en prend plein la figure… Juste après le col. Plus nous montons, plus le souffle commence à être court. On a dépassé les 3400 mètres d’altitude. Mais honnêtement, ça en vaut vraiment le coup, cela faisait un moment que je n’avais pas vu d’aussi jolies montagnes. Et puis il y a cette vue vertigineuse sur la vallée voisine… Nous sommes soudainement arrêtés par le bruit grave d’un glissement de terrain juste en face de nous, à quelques centaines de mètres. Un grondement retentit, la montagne se détache. Un nuage de poussière se forme et semble tout emporter sur son passage pour terminer sa course sur le glacier. Nous sommes impressionnés, je n’avais jamais vu cela. Glissement de terrain et nuage de poussière sur la droite. Nous longeons ensuite la crête et commençons à comprendre que nous sommes bientôt au dessus du Barrhorn. Il nous reste une dernière montée avant d’atteindre la cime. Le pouls s’accélère et une dose d’adrénaline se fait sentir. A cet instant je suis bien, je suis fier d’emmener mon frère là -haut. Tout est juste parfait. La montée finale pique les mollets…C’est raide, rocailleux, il fait chaud mais elle a le mérite d’être relativement courte ! Montée sommitale… Après quelques pauses photo, nous arrivons au dessus du Barrhorn sans soucis. Il nous aura fallu environs 3h depuis la cabane. Qu’est-ce qu’on est heureux ! La vue est magnifique, il n’y a pas de vent, il fait bon voire chaud et nous sommes en pleine forme. Que demander de mieux ? Facile un bon repas… Nous déballons nos affaires et dégustons des produits de la vallée voisine. Un moment inoubliable entre frères. Après une petite sieste, je m’en vais crapahuter sur le sommet voisin facilement accessible en contrebas. Je reviens ensuite pour observer le Bishorn, le Weisshorn, la Dent Blanche et au loin le Mont Blanc ! Le Mont Blanc, dans le fond. La descente se fait par le même chemin sauf au début où nous prenons vers la droite pour revenir par le chemin plus raide évité à la montée. Et nous avons bien fait c’est bien plus pentu et il fait chaud. Je conseille d’être franchement prudent et de bien assurer ses appuis dans la descente propice aux blessures et aux glissades improvisées… Nous rejoignons ensuite la cabane où nous nous rafraîchissons à la fontaine pour finalement descendre jusqu’au parking. Nous reprenons notre véhicule laissé la veille et redescendons dans la vallée vers Leuk. Nous dégustons un délicieux repas bien mérité au restaurant de l’Hôtel Relais Bayard à y passons aussi la nuit avant de remonter » en Belgique. C’est donc comme cela que se termine cette belle microaventure sur un sommet du Valais suisse ! Trace GPX de la randonnée Tu peux télécharger ce fichier qui te permettra de suivre l’itinéraire aller/retour sur ton smartphone via une application comme Openrunner ou Visorando. C’est facile, pratique et gratuit à condition d’avoir un smartphone équipé d’une puce gps. Matériel rando Chaussures Salomon OUTline GTX légères 309gr, bon maintien et excellent grip. Juste parfaite pour cette ascension à dos Osprey Talon 44 c’est le sac que j’utilise en haute montagne sur plusieurs jours. Il est ultra ergonomique, léger et surtout de soleil JULBO Shield. Les verre Reactiv photochromiques Cat. 2 à 4 conviennent parfaitement à la haute montagne. Je les adore…Veste polaire Quechua MH900T-shirt trekking montagne mérinos Forclaz Trek500Short rando montagne Forclaz Trek500Bandeau trekking Trek100 Attention à ne pas oublier d’emporter assez d’eau, une doudoune et une veste de pluie. Sans oublier les gants et de la protection solaire. Il vaut mieux les avoir et ne pas s’en servir que le contraire… Selfie entre frères au sommet ! Matériel photo Lumix GX9, un APN hybride compact et performant, idéal pour Leica DG Vario-Elmarit 12-60mm f/2,8-4 ASPH. Polyvalent, compact et d’une finition remarquable, il produit des images de qualité même en basse lumière F/ Peak Design V3 pour fixer l’appareil photo sur la sangle du sac à dos. Ultra Pratique ! Merci Sam pour le Rollei Compact Traveler N°1 Carbone. Solide, léger moins d’un kg, le compagnon parfait. Huawei Mate 20 Pro, le meilleur smartphone pour la photo avec ses 3 capteurs signés Leica et une stabilisation DJI Mavic Air, léger et très portatif, un drone amateur qui produit d’excellentes images 4K et qui est parfait pour ne pas trop s’encombrer en rando ! NOUVEAU N’hésite pas à glisser les le Barrhorndans un de tes tableaux Pinterest avec le bouton Pin it » 😉 Cet article est le fruit d’une collaboration avec Leuk Tourisme, Suisse Tourisme et Valais Tourisme. Merci à eux pour leur confiance et en particulier à Saar pour la coordination. Mes propos restent cependant et comme toujours libres et sincères.
Lacabane est sur le chien. Définition: quand tout est perdu. Expression venant du rugby. Exemple: Ils viennent de se prendre un essai à une minute de la fin, c' est fini, la cabane est
Publié le 17 Mars 2020 par Cositas de toros Chère confinée, cher confiné. Nous y voila. Nous vivons une période inédite, angoissante sinon préoccupante où chaque jour bouleverse notre quotidien amenant son lot de directives, ordres et recommandations. Aujourd’hui, toute notre vie, notre organisation sont perturbées, bouleversées. Nous n’allons pas reprendre ici, les faits, les évènements ni les moyens et dispositions mis en place et surtout pas polémiquer, simplement aborder la situation liée au contexte et seulement dans le secteur qui nous est cher et qui nous réunit, le monde taurin. Chaque acteur du mundillo est plongé dans l’incertitude, chaque torero, chaque impresa, chaque ganadero. Les cartels, les ferias, les capeas… sont annulés ou reportés parfois à des dates qui semblent encore discutables voire incertaines. Nous n’en ferons pas la liste, les divers sites taurins s’en chargent. Tous les toreros matadors, novilleros, apprentis, tous bien préparés durant l’intersaison, voient, à plus ou moins court terme, leurs efforts et sacrifices anéantis en ce début de temporada. Nous pensons en particulier, aux plus jeunes, les novilleros en piquée ou non piquée, qui découvrent pour certains leurs débuts remis à plus tard, un contrat à Madrid, un premier habit de lumières… Aujourd’hui, les éventuelles solutions n’existent pas, les jours sont à prendre comme ils viennent, avec philosophie, facile à dire, hélas. La santé publique est en danger, des personnes meurent, nous ne l’oublions pas. Nous ne pouvons pas faire preuve d’égoïsme et pleurer sur notre sort d’aficionado. Mais je garde une sincère pensée pour tous les ganaderos dont beaucoup d’entre-eux vivent sur le fil du rasoir. Quid des toros, novillos, erales non "lidiés" ? La perte des ventes de leur bétail apportera en plus un surcoût de dépenses alimentaires et de frais vétérinaires. Voici la véritable solitude du ganadero qui survient dans ces temps hostiles. L’impact peut être autrement sérieux. Si l’homme a deux oreilles et une bouche, c’est pour écouter deux fois plus qu’il ne parle » affirmait Confucius… en théorie seulement car aujourd’hui nous parlons plus à tord et à travers que nous n’écoutons. Enfin, tout ceci pour dire que en dehors des oreilles et de la bouche, nous avons aussi un cœur. Il faudra le démontrer lorsque l’état de guerre sera levé, et nous, aficionados, nous nous ruerons au campo, soutenir nos ganaderos en organisant, chères peñas et clubs taurins, de belles journées. N’oublions pas que pour nombre d’entre-eux, nos visites ont aussi une valeur économique. Sortons de l’Enfer, lieu si "déplaisant" et vivement de nouveaux jours heureux ! PS. De mon canapé, je vous invite à lire, écrire, écouter de la musique, à trouver un nouveau rythme. C’est le moment de vous lancer dans de nouveaux hobbies et de réapprendre les bienfaits de la patience et de la réflexion. Cultivons la patience ! Gilbert Lamarque
O8TT0i. u7iqiy26ff.pages.dev/368u7iqiy26ff.pages.dev/338u7iqiy26ff.pages.dev/358u7iqiy26ff.pages.dev/11u7iqiy26ff.pages.dev/205u7iqiy26ff.pages.dev/483u7iqiy26ff.pages.dev/120u7iqiy26ff.pages.dev/139
la cabane est tombée sur le chien